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Des carrières qui prennent leur envol : Michael Genin

Un passage dans la marine a mis Michael Genin sur la voie d’une fructueuse carrière dans l’aviation. Il travaille maintenant comme directeur des opérations à Bridgeport, en Virginie-Occidentale, et il se trouve exactement là où il souhaitait arriver.

Lorsque vous êtes issu d’une famille de professionnels de la santé, il y a de fortes chances pour que vous suiviez le même parcours professionnel. Pas dans le cas de Michael Genin. Dès son plus jeune âge, Michael savait qu’il voulait faire partie de l’industrie de l’aviation. Il s’est d’abord enrôlé dans la marine américaine, juste après ses études secondaires, où il a servi sur le porte-avions USS Constellation au large de Whidbey Island, dans l’État de Washington.

Dans l’un des milieux de travail les plus dynamiques de la planète, Michael a appris les rouages du métier de mécanicien d’aéronefs en travaillant sur un avion EA-6B Prowler et en devenant chef mécanicien d’aéronef. Inspiré par les défis et le dynamisme du milieu de l’aviation, Michael est rentré à Clarksburg après son passage dans la marine et a fréquenté le Pierpont College où il a obtenu son certificat de mécanicien cellule et groupe moteur. À partir de cette période, la carrière de Michael a vraiment décollé.

Ayant débuté comme mécanicien dans un grand centre de service d’entretien, de réparation et de révision, Michael a rapidement démontré qu’il était capable d’assumer davantage de responsabilités. « J’étais technicien au sol et je travaillais sur les avions Flexjet et Embraer EMB 120, raconte Michael. En deux ans, je suis devenu chef d’équipe. L’année suivante, je suis devenu superviseur temporaire des opérations, puis superviseur permanent responsable de trois services différents. Après cela, je suis devenu directeur des opérations et des programmes du centre de services. »

Lorsque MHIRJ a ouvert son centre de service à Bridgeport, Michael a été promu au poste de directeur des opérations. Il avait gravi pratiquement tous les échelons de sa carrière. À MHIRJ, comme dans la marine, Michael assume des tâches et respecte des échéanciers particuliers. Son équipe doit préparer chaque avion avant le décollage. Le but du jeu est de livrer le produit. « La camaraderie fait partie également de l’équation, affirme Michael. « Nous sommes une seule et même machine avec de multiples pièces qui fonctionnent ensemble. Nous nous soutenons les uns les autres et nous aidons toujours nos coéquipiers, quel que soit le défi à relever. »

Nous sommes une seule et même machine avec de multiples pièces qui fonctionnent ensemble. Nous nous soutenons les uns les autres et nous aidons toujours nos coéquipiers, quel que soit le défi à relever.

Lorsqu’on lui demande de parler de l’environnement de travail à MHIRJ, Michael fait immédiatement le lien avec sa carrière dans la marine. « C’est une atmosphère dynamique où il faut être sur le qui-vive, souligne Michael. Un jour, vous travaillez sur les moteurs, le lendemain, sur l’avionique, puis le jour suivant, sur autre chose. Ce n’est pas monotone comme sur une chaîne de montage où il faut réaliser la même tâche jour après jour. Il y a toujours un objectif, une mission et un échéancier à respecter. » 
Comme directeur des opérations, Michael veille à ce que chaque technicien fraîchement diplômé soit jumelé à un mentor pendant une période de six mois à un an pour lui offrir une formation plus approfondie avant qu’il ne puisse travailler de façon autonome. Michael jumelle un technicien chevronné avec chaque recrue pour lui montrer comment faire le travail correctement dès le départ. Outre le mentorat, MHIRJ propose également un programme d’apprentissage dans le cadre duquel des jeunes sortant de l’école secondaire et ayant des aptitudes en mécanique peuvent acquérir une expérience pratique en apprenant auprès d’un mentor. En 18 mois, ils peuvent obtenir leur licence. 

Michael mentionne également les voyages comme autre raison de se joindre à MHIRJ, car les employés peuvent travailler dans les autres centres de service de la société dans tout le pays lorsqu’ils ont besoin de renfort. « J’ai beaucoup voyagé lorsque j’étais dans la marine et je recommande vivement de découvrir d’autres endroits et d’apprendre comment on y travaille », insiste Michael. 

Quel serait le deuxième point le plus positif à propos du travail au centre de service de Bridgeport? Bridgeport même. C’est le genre d’endroit où l’on souhaite élever ses enfants : sécuritaire, convivial, sportif, avec en prime un environnement scolaire foisonnant. « Les activités de plein air sont nombreuses, surtout pour les personnes qui aiment l’eau comme moi, souligne Michael. À proximité de la ville, il est possible de faire du rafting en eau vive, du kayak et du canot, ou si vous préférez la randonnée et le vélo, c’est possible aussi. »